Un enfant nécessitera généralement 2.5 ans avant d'être propre ce qui représentera environ 5000 couches. Bien que les couches jetables soient biodégradables (une partie d'une couche jetable est constituée de cellulose), cela représente une quantité de déchets qui peut être drastiquement réduite. En France, par exemple, les couches représenteraient jusqu'à 750 000 tonnes par an soit près de 3% de l'ensemble des déchets [REF].
En Belgique, les "choses" bougent concernant le photovoltaïque et particulièrement les taxes/frais qui y sont liées. L'idée est de pousser les prosumers (un consommateur qui est également un producteur d'énergie) à consommer l'énergie qu'il produit pour limiter son prélèvement sur le réseau ainsi que son injection qui pourrait déséquilibrer le réseau. Alors qu'en est-il réellement de l'autoconsommation et comment faire pour l'améliorer.
Suite à l'article précédent, la question qui m'a été posée est de savoir si les pellets disponibles pouvaient ou non répondre à la demande d'énergie. En effet, la biomasse sous forme de pellets semble être une excellente opportunité de diversifier notre mix énergétique tout en étant environnementalement intéressante. Mais où en sommes nous en chez nous?
Les pellets constituent une source d'énergie renouvelable. En effet, si on plante un arbre à la place de celui qui est coupé, ce dernier emmagasinera du dioxyde de carbone (CO2) durant sa croissance (un arbre est essentiellement constitué de carbone issu du CO2 [REF,REF2]. Lors de la combustion du bois, celle-ci émettra le CO2 emmagasiné. Cependant tout n'est pas aussi simple car le CO2 n'est pas la seule émission d'une combustion et surtout il faut considérer d'autres aspects...